Parfois, tu restes coincé·e.
Tu réfléchis, tu pèses le pour et le contre, tu listes les options.
Et plus tu tournes autour, plus ça bloque.

La vérité, c’est que ce n’est pas de plus de réflexion dont tu as besoin.
C’est d’un angle différent.
Et souvent, une seule question suffit à tout changer.

La CNV – Communication Non Violente – ce n’est pas un jargon compliqué ni une méthode réservée aux pros.
C’est une autre façon de se parler.
Moins de reproches, plus de clarté.
Moins de “tu fais toujours ça”, plus de “voilà ce que je ressens et ce dont j’ai besoin”.

Combien de fois tu as dit oui alors qu’à l’intérieur, c’était un grand non ?
Un rendez-vous que tu n’avais pas envie d’accepter.
Un service que tu ne pouvais pas rendre.
Une invitation que tu aurais préféré décliner.

Et pourtant… tu as dit oui.
Par politesse. Par habitude. Par peur de décevoir.

Tu crois que ce que tu dis n’a pas tant d’importance ?
En réalité, tes mots créent ta réalité.

Un simple “il faut que je…” et déjà, tu sens la lourdeur.
“Je dois absolument…” et l’énergie retombe.
Ton cerveau entend une contrainte, pas un choix.

On t’a appris qu’il fallait un plan.
Un vrai. Avec des étapes claires, des échéances, une vision détaillée. Mais dans la vraie vie, les choses ne se déroulent jamais comme prévu.

Tu attends d’avoir les idées claires pour commencer ?
Mauvaise nouvelle : ça ne marche pas comme ça.

La clarté, ce n’est pas un prérequis. C’est une conséquence.
Tu la trouves en avançant, pas en attendant qu’elle tombe du ciel.

Quand trop réfléchir devient ton plus gros frein.

Réfléchir, c’est utile. Mais trop réfléchir, c’est l’art de s’inventer des obstacles.
Tu fais des scénarios catastrophes, tu compares 15 options, tu attends la certitude absolue.
Résultat : tu ne bouges pas.

Le cerveau adore ça : il te fait croire qu’il travaille.
Alors qu’en vrai, il te protège du risque.

Arrêter d’attendre le bon moment.

Tu attends quoi, exactement ?
Que ton agenda se vide miraculeusement ?
Que tes finances soient parfaites ?
Que la peur disparaisse ?

Spoiler : ça n’arrivera pas.

Trop d’idées, pas assez d’action.

Ça t’arrive ?
Ton carnet se remplit. Ton application “Notes” déborde.
Tu passes tes journées à brainstormer… et zéro avancée concrète.

J’ai connu ça aussi.
À force d’avoir 1000 projets, tu n’en démarres aucun.
Tu te dis qu’il faudrait choisir.
Mais choisir, c’est renoncer. Et renoncer, ça fait peur.